samedi 23 avril 2022

LE COMTE DE PARIS CHANTE :



« Personne ne peut servir deux maîtres. En effet, ou bien il détestera l’un et il aimera l’autre, ou bien il sera fidèle à l’un et il méprisera l’autre. Vous ne pouvez pas servir à la fois Dieu et l’argent ! » Dieu donne tout ce qui est nécessaire à la vie « C’est pourquoi je vous dis : ne vous faites pas de souci pour votre vie ni pour votre corps. Ne vous demandez pas : “Qu’est-ce que nous allons manger ? Avec quoi est-ce que nous allons nous habiller ?” Oui, votre vie est plus importante que la nourriture, et votre corps est plus important que les vêtements. Regardez les oiseaux. Ils ne sèment pas, ils ne moissonnent pas. Ils ne mettent pas de récoltes dans les greniers. Et votre Père qui est dans les cieux les nourrit ! Vous valez beaucoup plus que les oiseaux ! « Ce n’est pas en vous faisant du souci que vous pouvez ajouter un seul jour à votre vie ! Pourquoi alors vous faire du souci pour les vêtements ? Observez les fleurs des champs, regardez comment elles poussent. Elles ne filent pas et elles ne tissent pas. Pourtant, je vous le dis : même Salomon, avec toute sa richesse, n’a jamais eu de vêtements aussi beaux qu’une seule de ces fleurs. L’herbe est aujourd’hui dans les champs, et demain on la jettera au feu. Et pourtant, Dieu l’habille de vêtements magnifiques. Vous qui n’avez pas beaucoup de foi, vous pouvez être sûrs d’une chose : Dieu en fera au moins autant pour vous ! « Ne soyez pas inquiets en vous demandant : “Qu’est-ce que nous allons manger ? Qu’est-ce que nous allons boire ? Avec quoi est-ce que nous allons nous habiller ?” En effet, les gens qui ne connaissent pas Dieu cherchent tout cela sans arrêt. Vous avez besoin de toutes ces choses, et votre Père qui est dans les cieux le sait bien. Cherchez d’abord le Royaume de Dieu et ce que Dieu demande. Il vous donnera tout le reste en plus. « Donc, ne vous faites pas de souci pour demain. Demain se fera du souci pour lui-même. La fatigue d’aujourd’hui suffit pour aujourd’hui ! »

(Matthieu chapitre 6, versets 24 à 34)

Je suis l’otage de la famille Rothschild :

Esclave frétillant, j’obéis à leurs ordres,

Méprisant les Français démunis, mon désordre,

Un hâle safrané ; je suis un peace child

 

Qui fait la guerre à crédit partout, les Rothschilds

Qui m’ont intronisé me surveillent pour tordre

Le cou aux lois de la République, pour mordre

La poussière comme une vipère dans Bild ;

 

Je suis l’otage de la famille Rothschild,

Ces banquiers odieux qui m’outragent : peace child,

À quatre pattes, ils m’enculent, mon domaine

 

Un château de cartes ; je suis l’otage de

La famille Rothschild : roi lépreux, cafardeux,

Je suis fatigué du joug de fer œcoumène !

 

                  Ananivi Hosé KOUDOUOVOH

                  23 avril 2022 – Paris.

 

 

 

vendredi 22 avril 2022

JOURNAL DE CAMPAGNE


« Voici, je mets en Sion une pierre d'achoppement Et un rocher de scandale, Et celui qui croit en lui ne sera point confus. »

(Romains chapitre 9 : verset 33)

« En ce temps-là, on appellera Jérusalem le trône de l’Éternel ; Toutes les nations s'assembleront à Jérusalem, au nom de l’Éternel, Et elles ne suivront plus les penchants de leur mauvais cœur. En ces jours, La maison de Juda marchera avec la maison d’Israël ; Elles viendront ensemble du pays du septentrion Au pays dont j'ai donné la possession à vos pères »

(Jérémie chapitre 3 : versets 17 à 18)

Tous les regards sont tournés vers le Togo, depuis quelques semaines, non seulement à cause du processus électoral, mais surtout en raison des enjeux historique, culturel, sociopolitique, relatif à la foi, économique et géostratégique.

En effet, si l’Occident conquérant maintient avec avidité mais hypocritement Faure Gnassingbé dans la course présidentielle, malgré son bilan désastreux : précarité généralisée, misère galopante, gestion clanique efflanquée, vie chère, opposition muselée grâce aux deniers publics et aux décrets véreux, prostitution juvénile et consorts de nos sœurs pour la subsistance, éducation nationale qui rampe, piétinée, sous l’action arbitraire de la dégradation des conditions de vie des enseignants et de la population désabusée, fermeture intempestive des écoles, mort à crédit, favorisée par l’impossibilité/la rareté/l’inadéquation des soins et le suivi médical approprié, onéreux pour la majorité des Togolais etc., c’est parce qu’il joue bien son jeu de majordome agréé sur la terre de nos aïeux, où nous sommes traités comme esclaves et métayers par-delà les beaux discours.

Pour rendre la mise en scène élégante, on met les projecteurs sur Jean-Pierre Fabre, brisé et scié par la victoire de 2010 qu’il n’a jamais pu gérer au sommet de l’État, bien qu’il la réclamât à cor et à cri dans les rues piteuses de Lomé, maudite par l’assassinat de Sylvanus Olympio, le premier Président du Togo qui n’est pas sans tache ni ride.

Les autres candidats, triés sur le volet, choisis en fonction de l’immanence de la mascarade électorale, savent consciemment pourquoi ils plantent le décor, vil objet de la soif du pouvoir et de la fabrique du malheur, orchestrée par les prédateurs.

Sur le plan historique, la chute du dauphin hypocrite correspondrait au temps de la restauration du peuple de Dieu, promise par les Saintes Écritures, malignement exploitées par colons et félons pour asservir les profanes. Ésaïe 2 : verset 1 à 22, Jérémie 3 : verset 17 à 18, Aggée 2 : verset 21 à 23...

Sur le plan culturel, son déclin marquera l’avènement d’une nouvelle civilisation de paix authentique qui va jaillir du Togo et envahir le monde entier.

Sur le plan sociopolitique, la défection du roitelet stupide va inaugurer une ère exceptionnelle, au cours de laquelle, à partir de l’unité des Togolais, Dieu va diriger toute la création via le Togo, où son trône est érigé. Chaque fille et chaque fils du pays brillera sur la planète comme une étoile au firmament, bien plus qu’un Juif aujourd’hui.

Dans le domaine de la foi, en jouant pleinement son rôle de sentinelle, le Togo, qui est spirituellement la Jérusalem céleste, va accomplir la préoccupation intime de Dieu après la chute d’Adam et Ève dans le jardin d’Éden : l’entrée dans le repos de l’Éternel. De surcroît, il va produire la pluie de l’arrière-saison, voulue par le Créateur avant la fondation du monde.

Bien plus, le Togo ramènera Israël, la brebis perdue, au salut, afin que s’accomplisse la parole écrite par Zacharie, le prophète : « Alors je répandrai sur la maison de David et sur les habitants de Jérusalem Un esprit de grâce et de supplication, Et ils tourneront les regards vers moi, celui qu'ils ont percé. Ils pleureront sur lui comme on pleure sur un fils unique, Ils pleureront amèrement sur lui comme on pleure sur un premier-né. En ce jour-là, le deuil sera grand à Jérusalem, Comme le deuil d'Hadadrimmon dans la vallée de Meguiddon. » (Zacharie 12 : versets 10 et 11)

Si le Togo ne joue pas pleinement son rôle, le salut d’Israël, qui a rejeté Jésus-Christ au cours de son ministère terrestre, en le crucifiant avec la complicité des Romains, est hypothéqué, puisque cette terre d’élection, jadis, attend encore le Messie, déjà venu !

Je voudrais saisir cette occasion pour préciser que la prédestination du Togo est antérieure à celle d’Israël, qui est effective avec Abraham, alors que celle de notre cher pays était visible du temps de Noé, la huitième génération depuis Adam et bien plus tôt si je pouvais poursuivre la démonstration.

C’est aussi le Togo qui va réaliser cette parole du prophète Osée, en accomplissant triomphalement sa mission : « J'appellerai mon peuple celui qui n'était pas mon peuple, et bien-aimée celle qui n'était pas la bien-aimée » afin d’exciter la jalousie d’Israël, car s’il se passe chez nous ce que Paul évoque dans 1Corinthiens chapitre 2 verset 9, nous éveillerons indéniablement leur attention.

Sur le plan économique, l’essor du Togo, sans précédent dans toute l’Histoire, fera briller l’or de l’humanité au-delà de toute mesure. Ainsi s’accomplira ce qui avait été annoncé par le prophète Ésaïe : « Au bout de soixante-dix ans, l'Éternel visitera Tyr, Et elle retournera à son salaire impur ; Elle se prostituera à tous les royaumes de la terre, Sur la face du monde. Mais son gain et son salaire impur seront consacrés à l'Éternel, Ils ne seront ni entassés ni conservés ; Car son gain fournira pour ceux qui habitent devant l'Éternel Une nourriture abondante et des vêtements magnifiques. »

Sur le plan géostratégique, le rayonnement du Togo fera pâlir les États-Unis d’Amérique, la Chine, le Japon, l’Union Européenne, les pays émergents et que sais-je encore.

Cette conscience douloureuse de l’Occident fripon et de l’Orient entreprenant, en perte d’hégémonie, en perte de vitesse, est le principal enjeu de ce scrutin.

Quoi qu’il en soit, maintenir Faure Gnassingbé au pouvoir, malgré la grogne et le dessein bienveillant de Dieu n’empêchera pas la réalisation du plan merveilleux de Notre Père éternel. Lui substituer un autre vassal, à la solde des méchants réseaux ne changera rien à la soupe.

Tous les acteurs politiques du Togo le savent, je leur en ai fait part de vive voix pour la plupart, à commencer par l’actuel Premier ministre, Arthème Kwesi Séléagodji Ahoomey-Zunu qui m’a reçu à deux reprises à la primature, en présence de nombreux témoins.

Ou par personne interposée, comme ce fut le cas de Koffi Esaw pour le Président de la République, lorsque dans sa grâce l’Éternel leur tendait la main pour les racheter.

Les leaders religieux que j’ai rencontrés, en grand nombre le savent aussi, en l’occurrence Monseigneur Denis Amuzu-Dzakpah, étant d’emblée d’accord pour la dynamique, rétifs par la suite.

Les responsables de la société civile ne sont pas du reste. Les médias d’État, pris en otage par la tyrannie aveugle du dynaste épris de royauté, et la presse privée sont également au courant.

S’ils ne font rien pour changer la donne, c’est que la terreur ouverte ou sournoise du système macabre qui gouverne le monde, qui impose ses lois de l’Occident aux autres parties du globe, surtout au tiers-monde et à l’Afrique enchaînée, désorbitée, sans voix est prête à s’effondrer avec leur mutisme, leur immobilisme, leur laideur, leur couardise, leur traîtrise, leur égoïsme, leur injustice, leur méchanceté... car la pierre qui frappa la statue et la pulvérisa dans le songe de Nebucadnetsar, expliqué par Daniel le fit sans le secours d’aucune main.

L’envolée du Togo entraînera celle de l’Afrique, encore endolorie, pillée pour ses richesses, assujettie par peur de l’éveil de ses enfants humiliés, opprimés, marginalisés.

La résurgence de la nouvelle Jérusalem annonce la chute de Babylone dont l’essence, l’éducation, la matière et l’action sont actualisées depuis toujours par les puissances qui se succédaient : les Mèdes, les Perses, les Grecs/les Romains antiques, les dix premiers États d’Europe, les États-Unis d’Amérique.

Puisse le libérateur que l’Éternel nous a suscité parfaire son œuvre d’avant-garde, dans l’ombre pour le jour de l’éclat de sa majesté !



Ananivi Hosé KOUDOUOVOH

24 avril 2015 – Lomé.








MARS, LE MOIS DE L’ÉCOLE DU DIMANCHE



J’obéis à la voix de l’Éternel comme un

Enfant obéit à son père et à sa mère :

J’obéis à la voix de l’Éternel comme un

Enfant docile, prêt à agir, les commères


Confondus ; j’obéis au Rédempteur comme un

Enfant obéit à son père et à sa mère :

J’obéis au Messie, à l’Esprit Saint comme un

Enfant obéit à son père et à sa mère ;


Je loue le Seigneur qui m’a aimé avant ma

Naissance : j’exalte cette grâce qui m’a

Permis d’être un enfant de Dieu, un héritier


Digne de ce nom, un peuple acquis, une Terre

Promise, un flambeau qui s’allume, un presbytère

Dans ce millénaire, de Christ cohéritier !


Marcel KOUDOUOVOH

11 mars 2022 – Cergy.  


jeudi 21 avril 2022

EMMANUEL MACRON, FIN DE PARTIE



« Je te chasserai de ton poste, L'Éternel t'arrachera de ta place. En ce jour-là, J'appellerai mon serviteur Éliakim, fils de Hilkija; Je le revêtirai de ta tunique, je le ceindrai de ta ceinture, Et je remettrai ton pouvoir entre ses mains; Il sera un père pour les habitants de Jérusalem Et pour la maison de Juda. Je mettrai sur son épaule la clé de la maison de David: Quand il ouvrira, nul ne fermera; Quand il fermera, nul n'ouvrira. Je l'enfoncerai comme un clou dans un lieu sûr, Et il sera un siège de gloire pour la maison de son père. »

(Ésaïe chapitre 22, versets 19 à 23)

J’ai brisé le sceptre d’iniquités du roi

De France, son orgueil de pédant, marionnette

Des banquiers odieux, détruit : bergeronnette,

J’avais plaidé pour son trône ténébreux, froid

 

Comme l’ours polaire, méprisant l’interroi

Accumulant des échecs au sommet, sa minette

Défigurée, parois bien bouchées, sa vignette

Amassant des trésors pour son clan, ma courroie

 

Portant l’estocade à son quartier général

Patibulaire ; j’ai tranché pour sa chorale

Au chant faux, leur portée bâtarde ébiselant

 

Nos populations opprimées, mutilées,

La terreur sous cape, l’horreur de leurs filets

Maudits les jugeant sans pitié, ensorcelant !

 

         Ananivi Hosé KOUDOUOVOH

         24 février 2021 – Paris.    

mercredi 20 avril 2022

ÉLIE



Je défie Achab, le roi d’Israël et tout

Le peuple idolâtre avec lui : j’ai arrêté

Les pluies pendant trois ans et demi ; j’ai prêté

Le flanc à Jézabel qui veut me tuer : tous

 

Les prophètes puisent dans ma vie, mes atouts,

Source inépuisable ; partout, j’ai décrété

L’État d’urgence pour fléchir Achab, fêté

Par les prophètes de Baal : ce roi tatou

 

Perd les pédales ; je défie Achab, le roi

D’Israël et tout le peuple idolâtre : Roi

De Sion, j’ai gagné mon pari, triomphant

 

De l’adversité sans tapage ; je défie

Achab, roi d’Israël et ceux qui se méfient

De l’Éternel Rapha : je sonne l’olifant !

 

         Marcel KOUDOUOVOH

         17 avril 2022 – Villiers-le-Bel.

vendredi 15 avril 2022

MYSTIFICATION DES URNES



« Après cela, Jésus continue à aller dans toute la Galilée. En effet, il ne veut pas aller en Judée, parce que les chefs juifs cherchent à le faire mourir. C’est bientôt la fête juive des Huttes. Les frères de Jésus lui disent : « Quitte la région et va en Judée, ainsi tes disciples aussi pourront voir les actions que tu fais ! Quand on veut être connu, on ne cache pas ce qu’on fait. Tu fais de grandes choses, alors, montre-toi au monde ! » En effet, même les frères de Jésus ne croient pas en lui. Mais Jésus leur répond : « Pour moi, ce n’est pas encore le bon moment, pour vous, c’est toujours le bon moment. Le monde ne peut pas vous détester. Moi, il me déteste parce que j’affirme que ses actions sont mauvaises. Vous, allez à la fête. Moi, je ne vais pas à cette fête, parce que pour moi, le bon moment n’est pas encore arrivé. » Jésus leur dit cela et il reste en Galilée. Mais quand ses frères sont partis à la fête, Jésus y va, lui aussi, sans se montrer, en secret. »

(Jean chapitre 7, versets 1 à 10) 

Je me débarrasse des candidats gênants

Dès le premier tour, sûr de voter des crétins :

Je me débarrasse des candidats gênants

Dès le premier tour, sûr de mon menu fretin ;

 

Je me débarrasse des candidats gênants

Dès le premier tour, sûr de voter des crétins :

Je me débarrasse des candidats gênants

Dès le premier tour, sûr de leur flambeau éteint ;

 

J’ai fini de noyer l’avenir en commun,

L’Union Populaire élevant son corps immun :

Je me débarrasse des candidats gênants

 

Dès le premier tour, sûr de voter des crétins :

Je me débarrasse des candidats gênants

Dès le premier tour, sûr de mon menu fretin !

 

         Ananivi Hosé KOUDOUOVOH

         15 avril 2022 – Paris.  

 

   

mercredi 13 avril 2022

MONARCHIE PRÉSIDENTIELLE



« Ben-Hadad, le roi de Syrie, rassemble toute son armée. Avec l’aide de 32 rois, avec des chevaux et des chars, il part installer son camp devant Samarie et il l’attaque. Il envoie des messagers dans la ville pour dire à Akab, roi d’Israël : « Ben-Hadad te demande de lui donner ton argent et ton or, tes femmes et tes fils les plus beaux. » Le roi d’Israël lui fait cette réponse : « À tes ordres, mon roi. Ma personne et tout ce que je possède sont à toi. » Alors les messagers de Ben-Hadad reviennent vers Akab et lui disent de sa part : « Je t’ai envoyé l’ordre de me donner ton argent, ton or, tes femmes et tes fils. Donc demain, à cette heure-ci, j’enverrai mes serviteurs chez toi. Ils fouilleront ton palais et les maisons de tes ministres. Ils prendront tous les objets qui ont de la valeur à tes yeux et ils les emporteront. » Alors le roi d’Israël réunit tous les anciens du pays et il leur dit : « Ben-Hadad nous veut du mal, vous le voyez clairement. En effet, il a envoyé ses messagers pour me demander mes femmes et mes fils, avec mon argent et mon or. Je n’ai rien refusé. » Tous les anciens et tout le peuple lui disent : « Ne l’écoute pas, n’accepte pas ! » Akab donne cette réponse aux messagers de Ben-Hadad : « Allez dire à votre roi : “Tout ce que tu m’as demandé la première fois, je suis prêt à le faire. Mais ce que tu demandes maintenant, je ne peux pas l’accepter.” » Les messagers vont porter cette réponse à Ben-Hadad. Alors celui-ci les envoie encore dire à Akab : « Je vais détruire complètement Samarie. Il ne restera même pas assez de poussière dans la ville pour remplir les mains de tous mes soldats ! Si je ne le fais pas, que les dieux me punissent très sévèrement ! » Le roi d’Israël répond : « Rappelez à Ben-Hadad ce proverbe : “Il ne faut pas se vanter de remporter la victoire avant de commencer le combat.” » Pendant ce temps, Ben-Hadad est en train de boire avec les autres rois dans leurs tentes. Mais quand il reçoit cette réponse, il donne aussitôt aux officiers l’ordre d’attaquer Samarie. Alors les officiers se préparent au combat. Au même moment, un prophète s’approche d’Akab, roi d’Israël. Voici ce qu’il lui dit de la part du Seigneur : « Tu vois l’immense armée de Ben-Hadad. Eh bien, je vais te la livrer aujourd’hui même. Alors tu sauras que le Seigneur, c’est moi. » Akab demande : « Avec l’aide de qui ? » Le prophète répond de la part du Seigneur : « Avec l’aide des jeunes gens que les gouverneurs de provinces ont recrutés. » Akab pose encore cette question : « Qui va attaquer ? » Il répond : « Toi ! » (…) Aussitôt l’homme enlève la bande de tissu de ses yeux, et le roi voit qu’il appartient à un groupe de prophètes. Alors le prophète dit à Akab de la part du Seigneur : « Je t’avais dit de tuer Ben-Hadad, mais tu l’as laissé partir. Eh bien, c’est toi qui mourras à sa place, et ton peuple mourra à la place de son peuple. » Le roi d’Israël retourne chez lui, à Samarie, inquiet et en colère. »

(1 Rois chapitre 20, versets 1 à 14 et versets 41 à 43) 

J’entache l’élection d’irrégularités :

Mépris du corps social, désir des oppresseurs ;

J’entache l’élection d’irrégularités :

Roi lépreux embourbé près des intercesseurs ;

 

J’entache l’élection d’irrégularités :

Jézabel aux prises avec tous nos boxeurs ;

J’entache l’élection d’irrégularités :

Robin des bois rayé sans vergogne ; cité

 

Lacustre, mon bain à l’eau chaude refroidit

Le peuple des hameaux opprimé, cou roidi

Pour la tour de Babel qui est en débandade ;

 

J’entache l’élection d’irrégularités :

Mon froment délicieux aux riches, parité

Saignant mon larigot, horreur de Ben-Hadad !

 

         Marcel KOUDOUOVOH

         13 avril 2022 – Paris.  

 

 

mardi 12 avril 2022

NOUVELLE MASCARADE ÉLECTORALE



« Si le Seigneur ne construit pas la maison, les maçons travaillent pour rien ! Si le Seigneur ne garde pas la ville, le gardien la garde pour rien ! Pour rien, vous vous levez très tôt, pour rien, vous vous couchez très tard, et pour rien, vous vous fatiguez à gagner votre nourriture. Le Seigneur en donne autant à son ami très cher pendant qu’il dort. Mais oui, les enfants sont un trésor, la récompense donnée par le Seigneur. Les fils qu’un père reçoit dans sa jeunesse sont comme des flèches dans la main d’un combattant. Il est heureux, l’homme qui a rempli sa maison de telles armes ! Quand il se défendra contre ses ennemis aux portes de la ville, il ne sera pas couvert de honte. »

(Psaumes chapitre 127, versets 1 à 6)

J’ai tripatouillé les élections pour garder

L’enfant roi au pouvoir : je protège toujours

Mes biens mal acquis, mon oppression, abat-jour

Qui détruit mon pays ; je voudrais regarder

 

Vers les montagnes mais le secours – attardé –

Vient de l’Éternel qui établit chaque jour

L’homme selon son cœur : j’appauvris tout Vaujours,

L’oligarchie qui me soutient très canardé ;

 

L’Union Populaire continue son chemin,

Brûlant les oripeaux partout, son parchemin,

Restaurant toutes les communes ravagées

 

Par mon joug de fer que le poète voyant

A brisé consciemment ; conducteur malvoyant,

J’ai perdu la guerre, doberman enragé !

 

         Marcel KOUDOUOVOH

         12 avril 2022 – Paris.

lundi 11 avril 2022

ELECTIONS PRÉSIDENTIELLES EN FRANCE



« Le matin, de bonne heure, les chefs des prêtres et les anciens du peuple décident tous ensemble de faire mourir Jésus. Ils le font attacher, ils l’emmènent et le livrent à Pilate, le gouverneur romain. (…) À chaque fête de la Pâque, le gouverneur a l’habitude de libérer un prisonnier, celui que la foule veut. À ce moment-là, il y a un prisonnier célèbre. Il s’appelle Jésus Barabbas. Les gens se sont rassemblés, et Pilate leur demande : « Je vais vous libérer un prisonnier. Qui voulez-vous : Jésus Barabbas ou Jésus qu’on appelle Messie ? » En effet, Pilate sait bien qu’ils lui ont livré Jésus par jalousie. Pendant que Pilate est assis au tribunal, sa femme envoie quelqu’un pour lui dire : « Ne t’occupe pas de l’affaire de cet homme innocent ! Cette nuit, dans un rêve, j’ai beaucoup souffert à cause de lui. » Les chefs des prêtres et les anciens poussent la foule à demander Barabbas et à faire mourir Jésus. Le gouverneur leur dit : « Je vais vous libérer un prisonnier. Lequel des deux voulez-vous ? » Ils répondent : « Barabbas ! » Pilate leur demande : « Qu’est-ce que je vais donc faire de Jésus qu’on appelle Messie ? » Tout le monde répond : « Cloue-le sur une croix ! » Pilate leur dit : « Qu’est-ce qu’il a donc fait de mal ? » Mais ils se mettent à crier encore plus fort : « Cloue-le sur une croix ! » Pilate voit qu’il n’arrive à rien, et l’agitation est de plus en plus grande. Alors il prend de l’eau et il se lave les mains devant la foule en disant : « Je ne suis pas responsable de la mort de cet homme. C’est votre affaire ! » Tout le peuple lui répond : « Nous acceptons d’être responsables de la mort de cet homme, nous et nos enfants ! » Alors Pilate leur libère Barabbas. Il fait frapper Jésus à coups de fouet et il le livre aux soldats pour qu’ils le clouent sur une croix. »

(Matthieu chapitre 27, versets 1 à 2 et 15 à 26)

J’ai plébiscité les plus mauvais candidats

Pour traire ma jument efflanquée : haridelle,

Je joue avec le feu, broyant ma citadelle

Sans vergogne, bourreau du peuple ; le mandat

 

Précédent m’a ployé, pourtant, le Concordat

Peint en bleu marine m’ensorcelle : urodèle,

Je rampe sans faire attention aux modèles

De la foi ; esclave frétillant, nos soldats

 

Meurent dans les guerres insensées que je livre

Partout dans le monde : Éternel, viens, délivre

Mon pays d’adoption des griffes du serpent ;

 

J’ai plébiscité les plus mauvais candidats

Pour traire ma jument efflanquée, candidats

De la séduction, non de l’amour, mon arpent !

 

         Marcel KOUDOUOVOH

         11 avril 2022 – Paris.

 

 

JOSUÉ



J’ai fait la conquête de la Terre promise,

Gagnant les guerres de possession aisément,

Suivant les instructions de l’Éternel, cément

Galvanisant l’armée en marche qui tamise

 

Les troupes ennemies : j’ai fait une remise

A tout Gabaon par compassion carrément,

Ouvrant une porte étrange facilement

Sur la malédiction ; ma nation insoumise

 

En a fait les frais dans le futur, ma fratrie

Toujours rayonnante m’indique ma patrie ;

L’étoile du matin me guide au firmament ;

 

J’ai fait la conquête de la Terre promise,

Galvanisant l’armée en marche qui tamise

Les troupes ennemies, gagnant permanemment !

 

         Marcel KOUDOUOVOH

         10 avril 2022 – Villiers-le-Bel.

 

 

samedi 9 avril 2022

LA CHUTE DE BABYLONE



« Après que Marthe a dit cela, elle part appeler sa sœur Marie. Elle lui dit tout bas : « Le Maître est là et il te demande de venir. » Quand Marie entend cela, elle se lève tout de suite et elle va trouver Jésus. Jésus n’est pas encore entré dans le village. Il est toujours à l’endroit où Marthe l’a rencontré. Des Juifs sont dans la maison avec Marie, pour la consoler. Ils voient qu’elle s’est levée tout de suite et qu’elle est sortie. Ils pensent : elle part vers la tombe, pour pleurer là-bas. Alors ils la suivent. Marie arrive à l’endroit où Jésus se trouve. Quand elle le voit, elle se jette à ses pieds et lui dit : « Seigneur, si tu avais été là, mon frère ne serait pas mort. » Jésus voit qu’elle pleure. Les Juifs qui sont venus avec elle pleurent aussi. Alors Jésus est bouleversé et troublé. Il demande : « Où est-ce que vous l’avez mis ? » Ils lui répondent : « Seigneur, viens et tu verras. » Jésus se met à pleurer. Les Juifs disent : « Regardez ! Il aimait beaucoup Lazare ! » Mais d’autres disent : « Il a ouvert les yeux de l’aveugle, et il n’a pas pu empêcher Lazare de mourir ? » De nouveau, Jésus est bouleversé et il part vers la tombe. C’est une grotte avec une grosse pierre placée devant l’entrée. Jésus dit : « Enlevez la pierre ! » Marthe, la sœur du mort, lui dit : « Seigneur, il doit déjà sentir mauvais. Il est dans la tombe depuis quatre jours. » Mais Jésus lui répond : « Je t’ai dit : “Si tu crois, tu verras la gloire de Dieu.” » On enlève donc la pierre. Jésus lève les yeux vers le ciel et il dit : « Père, je te dis merci, parce que tu m’as écouté. Tu m’écoutes toujours, je le sais. Mais je dis cela à cause des gens qui sont autour de moi. Ainsi, ils pourront croire que tu m’as envoyé. » Ensuite Jésus crie d’une voix forte : « Lazare, sors de là ! » Et Lazare sort, lui qui était mort. Il a les pieds et les mains attachés avec des bandes de tissu. Son visage est enveloppé dans un linge. Jésus dit aux gens : « Enlevez-lui tout cela et laissez-le partir. » Beaucoup de Juifs sont allés chez Marie et ils ont vu ce que Jésus a fait. Ils se mettent à croire en lui. Mais certains d’entre eux vont trouver les Pharisiens et ils leur racontent ce que Jésus a fait. Alors les chefs des prêtres et les Pharisiens réunissent le Tribunal religieux et ils disent : « Cet homme fait beaucoup de signes étonnants. Qu’est-ce que nous allons faire ? Si nous le laissons continuer, tout le monde va croire en lui. Ensuite, les Romains vont agir, ils vont détruire notre temple et notre nation ! »

(Jean chapitre 11, versets 28 à 48)

J’entrai au Carrousel du Louvre pour contraindre

Le diable à déposer les armes : boutefeu,

Son pouvoir ténébreux s’estompe, son enfeu

Peuplé de termites, de lézards ; je vais plaindre

 

Ses démons, ses agents, idoles qui vont geindre

À la tombée de la nuit ; j’allume le feu

Follet sans crainte ni frayeur, car l’antijeu

Était son cheval de bataille ; va rejoindre

 

L’enfer préparé pour toi avant le déluge :

Ton confort de guignol prend fin dans le grabuge ;

J’entrai au Carrousel du Louvre pour contraindre

 

Le diable à déposer les armes : boutefeu,

Son pouvoir ténébreux s’estompe, son enfeu

Peuplé de termites, de lézards ; je vais plaindre…

 

         Ananivi Hosé KOUDOUOVOH

         9 avril 2022 – Cergy.

vendredi 8 avril 2022

L’UNION POPULAIRE




« Quand le roi Ézékias a entendu ces paroles, il a déchiré ses vêtements, il a mis un habit de deuil et il est allé au temple du Seigneur. Il a envoyé Éliaquim, le chef du palais, le secrétaire Chebna et les prêtres les plus âgés chez le prophète Ésaïe, fils d’Amots. Ces hommes portaient aussi un habit de deuil. Ils devaient communiquer au prophète ces paroles d’Ézékias : « Aujourd’hui, c’est pour nous un jour de grande inquiétude, de punition et de honte. On le dit, l’enfant est prêt à naître, mais sa mère manque de force pour accoucher. Le roi d’Assyrie a envoyé son officier supérieur pour insulter le Dieu vivant. Si seulement le Seigneur ton Dieu pouvait entendre ces insultes et le punir pour ce qu’il a dit ! Toi, Ésaïe, prie le Seigneur pour ceux de ton peuple qui sont restés en vie. » Les envoyés du roi Ézékias sont allés voir Ésaïe. Celui-ci leur a dit : « Vous porterez à votre maître ce message du Seigneur : Tu as entendu les insultes que les officiers du roi d’Assyrie ont lancées contre moi. N’aie pas peur de ce qu’ils ont dit. Leur roi va apprendre une nouvelle. Je vais alors lui donner l’idée de retourner dans son pays, et là-bas je le ferai mourir par l’épée. »

(Ésaïe chapitre 37, versets 1 à 7)

J’ai mis fin à la monarchie présidentielle

D’Emmanuel Macron, bras de l’oligarchie

Qui asservit toute la France : notre archi-

Duc s’en va chancelant, son pouvoir démentiel

 

Entièrement détruit, l’usage artificiel

Du trésor public à l’échafaud ; Karachi

Refait surface, le potentat avachi,

Livré au trône de grâce, sa séquentielle 

 

Aux rats et aux chauves-souris ; ô j’ai mis fin

À la monarchie du président Macron, fin

Casseur des ménages, ployant les étrangers,

 

Méprisant les Français démunis, sa ration

Aux usurpateurs qui le bercent, ma nation

Écrasée par son froc qui broie les orangers !

 

         Ananivi Hosé KOUDOUOVOH

         8 avril 2022 – Cergy.

 

 


jeudi 7 avril 2022

MULTI-MEETING DE MELENCHON



« Le peuple qui marche dans la nuit voit une grande lumière. Pour ceux qui vivent dans le pays de l’obscurité, une lumière se met à briller. Seigneur, tu les inondes de bonheur, tu fais grandir leur joie. Ils se réjouissent devant toi comme on se réjouit en faisant les récoltes, comme on crie de joie en partageant les richesses des ennemis vaincus. Oui, tu arraches ton peuple au pouvoir qui pèse sur lui. Le bâton qui blesse ses épaules, le fouet qui le frappe, tu les brises comme tu l’as fait le jour où tu as vaincu les Madianites. Toutes les chaussures des ennemis qui font trembler le sol, tous les habits couverts de sang sont dévorés par le feu. Un enfant est né pour nous, un fils nous est donné. Il a reçu l’autorité d’un roi. On lui donne pour nom : Conseiller merveilleux, Dieu fort, Père pour toujours, Prince de la paix. Il étendra son autorité et assurera une paix sans fin. Il occupera le siège royal de David et dirigera son royaume. Il l’établira et le rendra solide en faisant respecter le droit et la justice, dès maintenant et pour toujours. Voilà ce que le Seigneur de l’univers fera à cause de son brûlant amour. »

(Esaïe chapitre 9, versets 1 à 6)

J’ai assisté avec plaisir à l’hologramme

De Jean-Luc Mélenchon à Trappes, supportant

L'Union Populaire sans faille, reportant

Nos voix écrasées par Macron sur le programme

 

De société le plus cohérent, l’épigramme

Des Jeunes en valeur, la Femme, héliportant

Sa fierté, l’Enfance heureuse, Vieillards, portant

Justement leurs talents reconnus, kilogrammes

 

De tous les profiteurs du système macabre

En gelée : je rejoins le contingent qui sabre

L’oligarchie, mère de tous les maux dont souffre

 

La France ravagée, le tiers-monde enchaîné,

L’Occident reconquis par Mammon, entraîné

Horriblement dans le malheur, au bord du gouffre !

 

         Ananivi Hosé KOUDOUOVOH

         7 avril 2022 – Cergy.

 

 

VRAI CORPS



« Voici la réponse du Seigneur de l’univers : « Je vais envoyer mon messager. Il préparera le chemin pour moi. Tout à coup, le Seigneur que vous désirez arrivera dans son temple. Voici le messager de l’alliance que vous attendez, il arrive. » Qui pourra résister quand il viendra ? Qui pourra rester debout quand il se montrera ? Car il est comme le feu du fondeur, comme la lessive du blanchisseur. Il s’installera pour fondre l’argent au feu et pour le rendre pur. Il purifiera les prêtres de la famille de Lévi, il les rendra purs comme on rend purs l’or et l’argent. Alors ils pourront présenter les offrandes au Seigneur en respectant les règles. Ainsi, les offrandes des gens de Jérusalem et des autres habitants de Juda plairont au Seigneur, comme autrefois, dans le passé. Oui, le Seigneur de l’univers le dit : « Je viendrai au milieu de vous pour vous juger. Je me dépêcherai d’accuser les sorciers, ceux qui commettent l’adultère, ceux qui font des serments faux, ceux qui paient mal leurs ouvriers, ceux qui écrasent les veuves et les orphelins par l’injustice, ceux qui traitent mal les étrangers, tous ceux qui ne me respectent pas. »

(Malachie chapitre 3, versets 1 à 5)

J’incarne l’avenir en commun, restaurant

La France ravagée, redorant le blason

De la Jeunesse qui me soutient tel Jason :

J’incarne l’avenir en commun, cormoran ;

 

J’incarne l’avenir en commun, soupirant

Après ma biche sans tapage, ma raison

Entièrement entée sur l’Esprit, ma maison

Rustique inhabitée : j’incarne le parent

 

Plein de sacrifices qui nourrit ses enfants

Comme un pieux pélican ; j’incarne – l’olifant

En transe – le balcon en forêt, le froment

 

Délicieux, mon cheval attelé, près du char

De Pharaon, l’âme sœur rêvée, René Char

Célébrant ma patrie, étoile au firmament !

 

         Ananivi Hosé KOUDOUOVOH

         24 mars 2022 – Cergy.


mercredi 6 avril 2022

SONNET POUR JEAN-LUC MÉLENCHON



Je porte le combat du peuple des hameaux

Au sommet de l’État, défendant vaillamment

Les proscrits, les enfants de la veuve, ramant

À contre-courant du pouvoir des chalumeaux.

 

J’agis sans l’aide de l’oligarchie, rameau

D’olivier annonçant bien la paix permanemment,

Dénonçant l’emprise des banques, instrument

De terreur, bourreau de la société, grumeaux

 

De sang à l’échafaud. Je brave le discours

Officiel trompeur des médias de Menucourt,

Libérant constamment le verbe salvateur,

 

Déjouant les pièges de tous les dirigeants

Engloutis par l’aven, chargeant le contingent

De l’avenir de ne pas céder aux batteurs…

 

         Ananivi Hosé KOUDOUOVOH

         25 mars 2019 – Cergy.