Je
passe à Paris les plus beaux jours de ma vie,
Dans
la consécration, écoutant l’Éternel,
Obéissant
à sa voix : je romps les vannelles
De
l’esclavage des humains, ô ses parvis
Ouverts
pour recevoir les proscrits sans l’avis
De
leurs oppresseurs en pâture, ces charnels
Qui
plombent l’avenir de la terre, tunnel
Obscur,
leurs idoles confondues, leur lavis
En
déliquescence ; je célèbre l’amour
Sans
hypocrisie, sans mensonge, désamour
Du
monde d’antan en écharpe, la traîtrise
De
mes frères et sœurs défaits en bandoulière ;
J’ai
repris mon trône d’empereur, la meulière
De
mon pays natal déloyal en prêtrise !
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
19 février 2021.
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