« Alors le roi Salomon jura par l'Éternel, en disant: Que
Dieu me traite dans toute sa rigueur, si ce n'est pas au prix de sa vie qu'Adonija
a prononcé cette parole! Maintenant, l'Éternel est vivant, lui qui m'a affermi
et m'a fait asseoir sur le trône de David, mon père, et qui m'a fait une maison
selon sa promesse! aujourd'hui Adonija mourra. Et le roi Salomon envoya Benaja,
fils de Jehojada, qui le frappa; et Adonija mourut. Le roi dit ensuite au
sacrificateur Abiathar: Va-t'en à Anathoth dans tes terres, car tu mérites la
mort; mais je ne te ferai pas mourir aujourd'hui, parce que tu as porté l'arche
du Seigneur l'Éternel devant David, mon père, et parce que tu as eu part à toutes
les souffrances de mon père. Ainsi Salomon dépouilla Abiathar de ses fonctions
de sacrificateur de l'Éternel, afin d'accomplir la parole que l'Éternel avait
prononcée sur la maison d'Éli à Silo. Le bruit en parvint à Joab, qui avait
suivi le parti d'Adonija, quoiqu'il n'eût pas suivi le parti d'Absalom. Et Joab
se réfugia vers la tente de l'Éternel, et saisit les cornes de l'autel. On
annonça au roi Salomon que Joab s'était réfugié vers la tente de l'Éternel, et
qu'il était auprès de l'autel. Et Salomon envoya Benaja, fils de Jehojada, en
lui disant: Va, frappe-le. Benaja arriva à la tente de l'Éternel, et dit à
Joab: Sors! c'est le roi qui l'ordonne. Mais il répondit: Non! je veux mourir
ici. Benaja rapporta la chose au roi, en disant: C'est ainsi qu'a parlé Joab,
et c'est ainsi qu'il m'a répondu. Le roi dit à Benaja: Fais comme il a dit,
frappe-le, et enterre-le; tu ôteras ainsi de dessus moi et de dessus la maison
de mon père le sang que Joab a répandu sans cause. L'Éternel fera retomber son
sang sur sa tête, parce qu'il a frappé deux hommes plus justes et meilleurs que
lui et les a tués par l'épée, sans que mon père David le sût: Abner, fils de
Ner, chef de l'armée d'Israël, et Amasa, fils de Jéther, chef de l'armée de Juda.
Leur sang retombera sur la tête de Joab et sur la tête de ses descendants à
perpétuité; mais il y aura paix à toujours, de par l'Éternel, pour David, pour
sa postérité, pour sa maison et pour son trône. Benaja, fils de Jehojada,
monta, frappa Joab, et le fit mourir. Il fut enterré dans sa maison, au désert.
Le roi mit à la tête de l'armée Benaja, fils de Jehojada, en remplacement de
Joab, et il mit le sacrificateur Tsadok à la place d'Abiathar. »
(1 Rois, chapitre 2, versets 23 à 35)
Je
porte le chapeau de l’échec du dialogue
D’Emmanuel
Macron avecque la nation
Française :
vétéran, ma détermination
Renforcée,
j’écris en triomphe l’épilogue
Saisissant
du roman d’un spahi, analogue
Aux
cloches de Bâle, la contamination
De
la France durant la crise, animation
Politique,
sur la terrasse, mon prologue
Burlesque
en taffetas, ma gestion chaotique
À
califourchon, mon repère psychotique
En
toile de fond, mon baptême dans la Seine,
Sclérosé,
châtiment conforme à trahison,
Mouvement
intérieur de l’opéra, vison
Déplumé
avant l’août, échafaud d’un mécène !
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
5 juillet 2020.
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