J’ai frappé de stupeur le scélérat soldat
De l’armée des colons, devenu général
Par la force occulte des francs-maçons. Son râle
Moutonne à l’infini au déclin du mandat
De son fils abruti. Idolâtre, ce rat
Des mauvais égouts a cru sa corne murale
Plus élevée que tout. Ce dictateur rural,
Ayant soumis les chefs traditionnels, au ras
De son armée sacrée, prétendait détenir
Tout pouvoir. De Dalia à Lomé, obtenir
Le résultat minait notre équipe. Le feu
De l’Esprit consuma ce fripon, massacré
Par notre épée, tranchant son être. Fracassé,
Il gît dans l’enfer de sa maison, sale enfeu !
Ananivi Hosé
KOUDOUOVOH
28 juillet
2013 – Lomé.
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