J’ai
écrit l’une des plus belles pages du
Football
japonais sans séduction, triomphant
Comme
un pionnier en Europe, l’olifant
En
transe. Vrai Nippon, j’ai toujours répondu
À
l’appel de Tokyo, fédérant l’étendue
De
la péninsule, le vent en poupe, enfant
Du
terroir au sommet de son art, paraphant
Des
bouquets d’hibiscus. Moi champion détendu,
J’ai
frappé la plupart des Samouraïs bleus,
Sans
perdre la tête, phénomène. Morbleu !
Ô
j’ai marqué le premier but de mon équipe
En
Russie, conduisant le fiacre d’apparat
Avec
les arrhes de l’Esprit, mes vingt carats
Retentissant
bien dans la charpente, archétype !
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
10 juillet 2018 – Lomé.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire