J’élève
ma corne au-dessus de l’Everest,
Subjugué
à Paris par liesse populaire
Et
tambour en l’honneur des héros. Capillaire,
Notre
victoire sans tache ni ride reste
Un
tournant, écrivant l’épopée qui empeste
Nos
adversaires, moins chanceux, patibulaires.
J’observe
le retour des tisserins, vélaires
En
harmonie avec l’occlusive. Ma geste
Resplendit
à l’entrée du Louvre, procréant
Aisément,
resserrant nos rangs et récréant
L’ambiance
festive de la grande finale.
J’ai
reçu le bouclier de la foi par lequel
Je
vais éteindre les traits du malin, Fasquelle
Éditant
gaiement mon chef-d’œuvre. Virginal !
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
18 juillet 2018 – Lomé.
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