J’ai
conduit l’équipe nationale croate
Aux
anges, soutenant les joueurs fièrement
Dans
les tribunes sans retenue, ferrement
De
toute la nation. Arrière-garde mate,
J’éblouis,
flamboyant, nos adversaires, plate
Représentation
du réel. Fréquemment,
Je
renouvelle leur souffle sans manquement,
Fédérant
mon pays, renforçant l’omoplate
De
Zagreb, au tournant du siècle décroissant.
Polyglotte
avérée, cosmopolite, sang-
Froid,
j’exalte le fair-play, écrivant la page
La
plus mélodieuse d’une finale, beau
Tableau
de Bukovac. J’ai porté le flambeau
De
mon peuple meurtri dans les aréopages…
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
17 juillet 2018 – Lomé.
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