Quand
vous lirez sur ma pierre tombale mon
Désespoir
poignant dû aux complications
De
mes études dans la brousse, application
Immédiate,
sachez que j’ai cédé aux monts
Infâmes
ma fierté virginale, artimon
Dépecé
au profit de la survie, traction
Avant
aux antipodes de l’attraction
Du
gain sordide sur mes cuisses de démon.
Quand
vous lirez sur ma pierre tombale mon
Affliction
de catin blême, sachez que mon
Courroux
nourrit ma vie, océan de sanglots
Longs,
étouffés par ma beauté juvénile au
Dévot,
ma haine de la tyrannie, sanglots !
Ananivi
Hosé KOUDOUOVOH
25
janvier 2014 – Lomé.
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