mardi 8 septembre 2015

RONDEL DE SABINE

J’ai frôlé ton corps de gazelle chaque fois Que mes yeux médusés par ton regard diurne Halent notre avenir plombé par chant des urnes… J’ai frôlé ton corps de gazelle chaque fois Que mon cœur épuré par le feu d’autrefois Conjugue notre vie au présent. Grande prune, Je croque ta chair de plumes sans gel. Auburn, Ton âge de cristal m’enchante. Toutefois, Ta taille d’égérie te gave de façon Guerrière, balayant constamment hameçon Et filet au palais royal. Quand tes désirs Se portent sur ton jet privé, ma foi l’obtient Pour la reine de Sion qui célèbre les tiens Avec humour. J’ai vu l’aviron du plaisir… Ananivi Hosé KOUDOUOVOH 29 août 2015 – LOME.

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