« Je
te chasserai de ton poste, L'Éternel t'arrachera de ta place. En ce jour-là,
J'appellerai mon serviteur Éliakim, fils de Hilkija; Je le revêtirai de ta
tunique, je le ceindrai de ta ceinture, Et je remettrai ton pouvoir entre ses
mains; Il sera un père pour les habitants de Jérusalem Et pour la maison de
Juda. Je mettrai
sur son épaule la clé de la maison de David: Quand il ouvrira, nul ne fermera;
Quand il fermera, nul n'ouvrira. Je l'enfoncerai comme un clou dans un lieu
sûr, Et il sera un siège de gloire pour la maison de son père. »
(Ésaïe chapitre 22, versets 19 à 23)
J’ai
brisé le sceptre d’iniquités du roi
De
France, son orgueil de pédant, marionnette
Des
banquiers odieux, détruit : bergeronnette,
J’avais
plaidé pour son trône ténébreux, froid
Comme
l’ours polaire, méprisant l’interroi
Accumulant
des échecs au sommet, sa minette
Défigurée,
parois bien bouchées, sa vignette
Amassant
des trésors pour son clan, ma courroie
Portant
l’estocade à son quartier général
Patibulaire ;
j’ai tranché pour sa chorale
Au
chant faux, leur portée bâtarde ébiselant
Nos
populations opprimées, mutilées,
La
terreur sous cape, l’horreur de leurs filets
Maudits
les jugeant sans pitié, ensorcelant !
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
24 février 2021 – Paris.
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