J’ai
ostracisé le poète voyant chaque
Jour,
me sentant toujours léger devant
Lui.
Ami d’enfance, je connais, redevant
À
son frère Jeannot, notre parrain, Meschac,
Prédestiné
à la gloire ! Toute l’arnaque
De
mes godillots le vise. Toujours devant
Le
danger, ferme dans la foi, son Dieu devant
Lui,
je le vois franchir le Rubicon, Sischac
Décroissant
fièrement ! Dans le leurre des mots,
Combattif
pour Sion, j’ai scellé ses émaux
Et
camées in petto, défendant son Tempo
Di
Africa, au plus haut point, souvent surpris
Par
sa constance sur le chemin. J’entrepris
De
l’épauler à ma façon, sans entrepôt !
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
10 mai 2015 – Lomé.
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