J’ai
laissé le Togo entre les mains de Faure
Gnassingbé
pour pérenniser sa tyrannie,
Sauver
des intérêts égoïstes, manie
De
l’oligarchie qui m’a intronisé. Fort
Pour
ribler l’Afrique, j’ai perdu le confort
Des
guignols, couronné pour trahir l’uranie.
Porte-parole
des méchants, déjà banni
Par
mon électorat médusé, mes efforts
Pour
diriger Paris en lambeaux sont plombés
Par
mes niaiseries sur les Noirs. J’ai plombé
Ma
voûte céleste sans effroi, en narguant
Les
Togolais épris de liberté. Vipère,
Mon
venin destructeur va servir de repère
À
la génération consciente. Intrigant !
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
3 octobre 2017 – Lomé.
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