Commandant,
Étienne Eyadema t’a tué
Au
sommet de ton art : jeune chef d’escadron
De
la gendarmerie, ta vie – rhododendron –
Était
tranchée par ce meurtrier ! Destitué,
Son
dauphin éclopé continue de tuer
Des
Togolais épris de liberté : Cédron,
Tu
drainais le limon partout. Nous t’encadrons
De
nos jours : ma plume va se substituer
À
toi pour transpercer le fantoche bourreau,
Faure
Gnassingbé, qui crie, l’épée du fourreau,
Frappant
sa destinée maudite ! Commandant,
Étienne
Eyadema t’a tué au sommet
De
ton art : tortures et flèches consommées
Te
rendent immortel, éternel Commandant !
Marcel KOUDOUOVOH
7 juillet 2023 – Paris.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire