J’ensorcelle
toujours le poète voyant,
L’émotion,
l’entraînant jusqu’au bord d’abondantes
Larmes.
Je l’ai quitté, tel l’éclair de l’andante :
J’afflige
mon frère, laboureur prévoyant !
J’ensorcelle
toujours le poète voyant,
L’émotion,
l’entraînant jusqu’au bord d’abondantes
Larmes.
Je l’ai marqué de fer ; ma joie ardente
Reconstruit
ses murs en ruine, noble croyant !
J’ensorcelle
toujours le poète voyant :
L’émotion
l’entraîne à l’orée des flamboyants
Vermeils.
Je l’ai frappé de l’écoute, logée
Dans
ma peau, dictame ! J’ensorcelle toujours
Le
poète voyant, l’émotion des beaux jours,
L’entraînant
à fondre en larmes : c’est l’apogée !
Marcel KOUDOUOVOH
23 décembre 2022 – Paris.
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