« Pierre et Jean sont en train de parler à la
foule, quand les prêtres, le chef des gardes du temple et les Sadducéens
arrivent près d’eux. Ils sont très en colère parce que Pierre et Jean
enseignent la foule. Les deux apôtres annoncent que les morts peuvent revenir à
la vie. En effet, ils disent : « Jésus s’est relevé de la mort. » Ils arrêtent
Pierre et Jean et ils les mettent en prison jusqu’au jour suivant, car c’est
déjà le soir. Beaucoup de ceux qui ont entendu la parole de Dieu deviennent
croyants. Ils sont à peu près 5 000 personnes. Le jour suivant, les chefs
religieux, les anciens et les maîtres de la loi se rassemblent à Jérusalem. Il
y a Hanne le grand-prêtre, Caïphe, Jean, Alexandre et tous ceux qui sont de la
famille du grand-prêtre. Ils font amener Pierre et Jean devant eux et ils leur
demandent : « Vous avez guéri l’infirme par quel pouvoir ? Vous avez fait cela
au nom de qui ? » Alors Pierre, rempli de l’Esprit Saint, leur dit : « Chefs du
peuple et anciens, nous avons fait du bien à un infirme, et aujourd’hui on nous
demande comment cet homme a été guéri. Vous tous et tout le peuple d’Israël,
vous devez savoir une chose : c’est par le nom de Jésus-Christ de Nazareth que
cet homme est là devant vous, en bonne santé. Ce Jésus-Christ, vous l’avez
cloué sur une croix, mais Dieu l’a réveillé de la mort. Les Livres Saints
disent de lui :
“La pierre
que vous, les constructeurs, avez rejetée est devenue la pierre principale.”
Cette
pierre, c’est Jésus.
« C’est lui
seul qui peut nous sauver. En effet, dans le monde entier, Dieu n’a donné aux
hommes personne d’autre pour nous sauver. »
(Actes chapitre 4, versets 1 à 12)
Je
voudrais aplatir la France embastillée
Par
ma présidence, la plus catastrophique
De
la République : ma tradition orphique
Est
une légende ; tyran, j’ai distillé
Le
miel seulement à l’oligarchie, taillé
En
biseau le peuple qui a faim : mon graphique
Dépouille
l’Église qui ploie sous ma scénique
Délirante,
enfant roi qui est déshabillé
Publiquement
ce jour ; je voudrais aplatir
La
France embastillée, noyée pour rebâtir
La
tour de Babel à mon cher père le diable ;
Je
voudrais aplatir la France embastillée
Par
ma présidence : tyran, j’ai distillé
Le
miel seulement à l’oligarchie ; j’endiable !
Marcel KOUDOUOVOH
19 mars 2022 – Paris.
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