J’ai
laissé les banlieues dans le délabrement
Pour
avoir barre sur les étrangers vivant
En
France : leurs papiers ne servent à rien, vent
D’Ouessant
emportant leurs palmes, désœuvrement
Proscrivant
les jeunes ; parents au tremblement
Semblables,
fatigués du joug de fer, rivant
Leur
droite fébrile à l’ennemi, abrivent
Vide,
s’étiolent sans issue, démembrement
Programmé
pour eux de l’Élysée ; j’ai mis fin
À
l’étouffement des banlieusards, leurs couffins
Restaurés
par Shilo ; je glorifie leur nom
Sans
séduction, pourvois à leur rayonnement
Malgré
leur sort, vie sous éteignoir ; bonnement
J’écris
leur épopée, j’active leur renom !
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
28 mai 2021 – Paris.
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