Je
dialogue avecque les couleurs dépeignant
L’extérieur
à travers mémoire d’éléphant :
Mes
tableaux complexes résonnent, l’olifant
En
transe pour marquer les esprits, trépignant
Des
pieds pour l’étendard de la croix rejoignant
Mon
paradis perdu, estampes de l’enfant
Du
Japon, chalumeau mystérieux, étouffant
Mes
détracteurs nombreux, entregloses baignant
Dans
l’immobilisme, la laideur de l’étoffe
Parfumant
leur discours tendancieux, œil en lof
Gérant
l’hystérie des comités de lecture,
Plus
royalistes que le roi, mon promontoire
Reluisant
sans cesse ; mon grain meurt, offertoire
D’un
bateau ivre dès l’aurore, conjecture !
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
14 avril 2021 – Paris.
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