Je
regarde ton corps de colombe sans fin,
Ne
parvenant jamais à étancher ma soif :
Tu
capitalises tout ce qui me plaît ; coiffe
Ton
cerf qui brame après toi pour tes couffins
D’or,
tes seins de mangue juteuse ô aiglefin ;
J’exploite
intensément tes cuisses nues, décoiffe,
Grue
couronnée, tes yeux médusés qui assoiffent
Mon
torrent ; tes fesses, planches courbes surfin
De
Lindt, entretiennent constamment ta vallée
Mythique,
étendant tes limites, azalée
Parfumant
comme un nard la région parisienne
Apprivoisée
par ton nombril de kayakiste
Remportant
le trophée des muses, les franquistes
Dépouillés,
mon butin voué à l’Arlésienne !
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
2 janvier 2021.
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