Je
tourne en dérision les indépendantistes
De
Ho, refusant de les recevoir dans mon
Palais.
Vassal à vie, je conduis nos piémonts
À
la perdition, sans vergogne, symboliste
Sapant
mon précurseur. Renégat, fin gaulliste,
Je
nargue mes frères pour satisfaire Valmont.
Je
cache mon venin en arrière, démon
Chargé
de détruire la sous-région. Fasciste,
Je
dépends des colons, ma félonie privant
Mon
val sublime de liberté. Abrivent
Vide,
je livre sans gêne concitoyens
Fiévreux
au bûcher, mû par une lâcheté
Constante,
la peur au ventre, poil tacheté
De
sang, guillotinant mes sœurs et nos doyens !
Ananivi
Hosé KOUDOUOVOH
26
janvier 2018 – Lomé.
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