Je
plaide le sort de mes patients maltraités
Par
leur entourage comme si plaidoyer
Suffisait
à guérir. Je les défends, noyer
De
paix aux contours bien définis, j’ai fêté
Aux
avant-postes un jour glorieux au foyer
Du
paraclet. Je plaide sans m’apitoyer
Sur
leur sort mes patients vertueux. Mettez-
Moi
à part mon ami, chaleureux, avenant,
Déployant
sa force au service des tenants
Du
nouvel ordre, de la justice. J’ai fait
Le
vœu de protéger ce filon impérial
À
tout prix, déchaînant mon courroux mémorial
Sur
sa gazelle, mue par les pruniers défaits.
Ananivi
Hosé KOUDOUOVOH
1er
février 2014 – Lomé.
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