samedi 28 septembre 2013
AIMANT DE GLIDJI
Que ton règne vienne ! Par ces mots, délivrée,
La forteresse des Guins a soufflé, captive
Des ténèbres depuis quatre siècles. Rétive,
À l’Évangile, je l’ai fiancée et livrée
À l’époux au faîte de sa gloire. Givrée,
Comme un barracuda, la citadelle active
Pour l’idolâtrie a fléchi genoux, pensive,
Unau en chute, mue par Mammon. Dégivrée,
Elle a couru vers ses enfants pour rétablir
Son culte obsolète. Argousin, établir
L’infâme le perçait ! J’ai brandi l’étendard
De la croix au palais royal avec les arrhes
De l’Esprit, certain de briser toute autogare
Sur mon passage. J’ai fait saigner les soudards…
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
17 août 2013 – Lomé.
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