jeudi 1 décembre 2011
LAURENT GBAGBO À LA HAYE
Ton transfert à la cour pénale rapetisse
Les Négro-africains victimes du combat
À armes inégales déclenché par le bas-
Relief parisien. Ton double quinquennat tisse
Une relation de choix avec nous. Tu hisses
Notre drapeau très haut et de ce branle-bas
De combat, tu sors haut les mains. Ce faux débat
Amuse les juges. Devant le précipice
Dans lequel Paris les charge de te pousser,
Une nuée va te couvrir et repousser
Le complot du Louvre. Quant à nos scélérats
D’Abidjan, le jour vient où notre rédempteur
Les affaissera au pied de sa croix. Préteurs
Habiles, prononcez un verdict de prélat !
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
30 novembre 2011 – Lomé.
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