lundi 3 octobre 2011
COMPLAINTE SUR RODOLPHE COMLAN TRENOU
Tu fus le bras droit du Président Olympio,
La cheville ouvrière de l’Assemblée, la plus
Précieuse plume du nationalisme… Plus
De quarante ans après le putsch, ton brio
Dans l’administration étonne le trio
Qui vous a succédé. Inhumé dans la plus
Grande simplicité, tu es le dernier plus
Grand monument à nous quitter. La polio
Et toutes les autres maladies infantiles
Que tu as soignées n’ont pas eu accès facile
À toi. Sous éteignoir, tu as toujours brillé
Plus que les scélérats qu’on pousse. Au dernier
Jour, ton empressement à servir le premier
Sera vu par tous ceux qui t’ont embastillé.
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
25 août 2011 – Lomé.
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