samedi 19 mars 2011
ODE À FADEL
Il y a quelque chose de mystérieux dans ton
Regard. La blancheur de tes yeux et de tes dents
Sont des signes d’une grande beauté. Pendant
Un moment, ton charme ressemblait aux frontons
Des monts où j’ai voulu vivre. Ici, nous chantons
Un cantique nouveau, celui des cœurs chiendents
Auxquels la vie a pris le sang correspondant
Au bonheur. Silences, saints baisers, nos chatons,
Écrivent l’histoire d’un duo confronté
À la réalité. Je ne saurais conter
Le reste. Le travail, la Parole nous blâment,
Mais au fond la flamme brûle et va se répandre
Au loin, dans l’arrière-cour pour bien se dissoudre
Un jour quand la vie nous donnera autre drame.
Ananivi Hosé KOUDOUOVOH
11 février 2011 – Lomé.
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